Yardi Kube: A single connected platform for flexible workspace management
Yardi Kube
Alors que la communauté de coworking prise dans son ensemble, reconnaît qu’il n’existe pas d’approche académique pour commencer, ouvrir et gérer un espace de coworking, il y a plusieurs bonnes raisons de commencer avec la communauté. C’est ce qui est, après tout, l’essence du mouvement et ce qui le différencie des autres formes de travail. Voilà quelques raisons pourquoi la construction d’une communauté avant l’ouverture est une bonne idée et neuf – parfois contradictoire mais néanmoins perspicaces, stratégies de community building qui sont essayées et expérimentées par les opérateurs d’espaces de coworking.
By Anna Cashman - jeudi 20 septembre 2012

Les espaces de coworking sont différents, ont différentes ambiances et accueillent des professionnels de tous horizons, créant ainsi des communautés largement différentes se créent. Mais il y a au moins deux facteurs communs qui relient tous les espaces. Le premier, évidemment, est qu’ils sont des lieux de travail. Mais le second est ce qui les différencie des autres lieux de travail : la communauté. Et c’est cet élément qui doit être cultivé.

Alex Hillman, est un défenseur véhément et passionné du community building avant l’ouverture de l’espace, et attribue beaucoup (si ce n’est tout) le succès de Independent's Hall à la communauté et  son co-fondateur DiMasi, établi avant l’ouverture des portes. L’un de ses membres a même suggéré le nom de l’espace ? Bien qu’il avoue qu’il n’y a « pas de méthode unique » pour le community building, il donne un certain nombre des raisons pour expliquer pourquoi lecommunity buildingen amont de l’ouverture est une si bonne idée.

Tout d’abord, pour des raisons très pragmatiques, avoir une communauté c’est avoir des personnes qui s’engagent à devenir membres de l’espace, ce qui garantit une part de capital initial. Comme toutes les entreprises, les espaces de coworking ont des frais. Avoir une partie du capital déjà engagé réduire la pression financière lorsqu’un opérateur plein d’espoir ouvrira son espace.

De plus, trouver et aménager un espace – toutes les questions logistiques – est en général plus facile et plus rapide que de construire une communauté forte.

« Il est en général plus facile des faire des choses come signer un bail, acheter des tables, aménager un bureau que de trouver des gens, d’éveiller leur intérêt pour l’idée et pour les uns les autres «  dit Amex. « C’est la partie la plus difficile. Et lorsque vous gardez le plus dur pour la fin vous avez tous les frais qui arrivent, et à ce moment-là, vous avez deux  difficultés ».

Gérer les tâches pratiques devient également plus facile quand il y a des personnes installées dans l’espace que vous pouvez consulter.

La deuxième raison est plus psychologique. Lorsque vous commencez avec un espace, défend Alex, votre dialogue devient centré sur l’espace, et vous commencez inconsciemment à parler de l’espace à des membres potentiels plutôt que de la communauté qui le compose.

“Quand vous avez déjà un espace, c’est vraiment facile de ne penser qu’à votre espace. Mais nous savons que ce qui intéresse le plus les membres sont les gens. Si vous commencés par l’espace, il devient partie intégrante de votre dialogue. Cela donne le ton aux membres potentiels que ce dont ils doivent se soucier est l’espace ». dit-il.

Au final, si aucune de ces astuces ne sont convaincantes, il y a une raison simple de commencer par la communauté. « L’un des plus gros avantages de commencer par la communauté en premier, c’est que vous avez une occasion de célébrer l’ouverture… avec des gens qui célèbrent avec vous… C’est pas terrible d’avoir une soirée d’inauguration tout seul ».

Voilà 11 astuces que les futurs opérateurs d’espaces e coworking peuvent appliquer pour construire une communauté et organiser sacrée fête.

Les évènements

L’un des moyens principaux pour construire une communauté and de réunir les gens et de les encourager à construire des relations les uns avec les autres, et le fait d’inviter des gens à des évènements est un moyen sûr et efficace de faire cela.

Essayez d’organiser des évènements détente plus que des évènements professionnels, car ils permettent davantage d’établir des relations personnelles plus que professionnelles. Alex, qui gère des ateliers de coworking, insiste sur le fait de ne pas appeler ces évènements des évènements de « networking » qui ont la connotation d’échanges de cartes de visites, et de collecte de contacts.

Des happy hours “J’aime les freelances” ou des petits déjeuners d’entrepreneurs. « Les repas et les verres sont formidables, parce que les gens le font de toute façon » dit Alex. « Si toutes les personnes qui se réunissent ont une ou deux conversations intéressantes, c’est déjà une réussite ». Voyez ça plus comme un cocktail que comme u évènement de réseautage »

D’un point de vue plus « professionnel », l’organisation de vos propres évènements où vous communiquez sur quelque chose que vous savez ou invitez quelqu’un pour vous apprendre quelque chose, peut être un bon moyen de réunir les gens.

Les évènement organisés par les autres

« Etre présent en groupe aux évènements organisés par d’autres, est quelque chose que les gens négligent souvent » dit Alex.

« Y aller en groupe donne une impression visible d’intimité dans le monde réel, et les gens diront « alors vous passez beaucoup de temps ensemble, ça donne quoi ? »

Jellies

Un “Jelly” est un formidable moyen de faire connaître le concept du coworking aux gens qui ne sont pas du tout familiers avec

Coworking Slovénie commencé un humble « jelly » le 19 janvier, faisant partie de la « Jellyweek. LE fondateur, Luka Piškorič et sa collègue Eva Perčič invitent uniquement leurs amis et leur réseau professionel à coworker au Kino Šiška, un centre connu pour la culture urbaine à Ljubljana. A partir de leurs cercles sociaux et professionnels, 150 personnes étaient présentes. Las participants et les lieux étaient tellement enthousiastes à propos deJellyque c’est devenu un évènement hebdomadaire. 

Enjoliver un Jelly hebdomadaire peut aussi aider à attire de nouveaux venus. Luka a introduit une session l’après-midi qui s’appelle « Assied toi, tu as 20/20 ». Des individus de divers horizons professionnels sont invités à présenter leurs projets et ont un feedback du groupe, parfois des opportunités de collaborations sont découvertes.

« Ces sessions marchent très bien » dit Luka, «  car elles attirent des personnes qui ne viendraient pas forcément dans l’espace normalement.  Ils viennent dans l’espace et (re)viennent pour coworker. Nous offrons également aux gens une possibilité des collaborer sur des sujets qu’ils ne leur étaient pas familiers avant… exactement comme le coworking ! »

Des rencontres ciblées

Alors qu’uneJellyest efficace pour introduire de nouveaux concepts de travail collaboratif, il y en aura toujours qui ne seront pas emballés par l’idée. Cependant, cela ne veut pas dire qu’ils n’aimeront pas un jour travailler  dans un espace de travail collaboratif.

Jaime Aranda et Alberto Pérez de workIncompany à Séville ont organisé bon nombre de jellies ciblées et structurée sur meetup.com, réunissant ainsi des personnes avec des intérêts communs, mais pas forcément pour coworker. Les rencontres comptent japoINcompany pour les amateurs de cuisine japonaise, chatINcompany, pour les passionnés de langues et cultures étrangères et English conversation group, accueilli par un ami de workINcompany.

Toutes les rencontres ont lieu dans leur espace de coworking, où l’on trouve parfois des coworkers en train de travailler. Cet environnement éveille naturellement la curiosité du groupe et Jaime dit qu’il y a toujours ungancho– c’est-à-dire un accrocheur : un porte-parole clandestin qui pourra expliquer au participant ce qu’est un espace de coworking.

Bien que cela puisse paraître un peu sournois, Jaime assure que les conversations ont lieu de façon entièrement naturelle, et ouvrent la porte aux gens pour poser des questions spontanément. Cette stratégie est utile dans une ville comme Séville, où les gens sont souvent sceptiques au partage d’idées dans le monde professionnel.

Des campagnes avec les media sociaux

Alex recommande une utilisation «  combinée de connections virtuelles et réelles » mais conseille «  de concrétiser ces relations virtuelles le plus rapidement possible ».

Les média sociaux permettent aux gens d’avoir des contacts faciles, informels et instantanés avec des groupes de personnes avec un certain intérêt. Il faut néanmoins comprendre qu’il y a des limites aux réseaux sociaux, et une plateforme en ligne n’est pas forcément idéale pour s’assurer que vos groupes vous suivront dans le monde réel.

Néanmoins, comme il est largement admis, il n’y a pas de « bonne façon » pour construire une communauté, et cela est illustré par l’approche de Craig Baute, qui a créé la communauté de Creative Density à Denver… de Toronto.

« J’étais très actif pendant cinq mois, jusqu’à l’ouverture, sur twitter, dans des conversations, gardant les suiveurs informés des évolutions, et en envoyant également occasionnellement des mails » dit-il.

Comme il n’y avait pas de contact en face à face, le fait de garder contact avec les personnes intéressées et de faire en sorte qu’ils aient des infos à jour a pris une très grande importance.

Craig insiste également sur le fait que le management d’une communauté est une compétence qui peut être transposée au monde virtuel. Il ciblait activement les personnes que son idée pouvait intéresser, et les incluaient dans son réseau virtuel.

EN utilisant le hashtag « HighFive » sur twitter, un certain type de personnes était tiré dans le concept. Une fois qu’une connexion virtuelle était établie, Craig faisait l’effort de parler à au moins deux personnes à la fois. Cela faisait acte de présentation introductive et établissait des liens entre de futurs coworkers.

Les medias sociaux peuvent aussi server à faire de la pub gratuitement, donc prenez soin de vous en server pour partager le succès d’un évènement. Après la première Jelly de Coworking Slovénie, Luka a posté des photos sur facebook, a tagué autant de personnes que possible. Cela a exposé l’évènement à des centaines d’autres cercles, et a garanti un nombre confortable de participants –entre 15 et 30 – toutes les semaines aux rencontresJelly.

Etude de marché

Les enquêtes sont un bon moyen de jauger l’intérêt et d’avoir un ressenti sur ce que veulent vos coworkers potentiels. Quand Craig a décidé d’ouvrir son espace de coworking, il avait protégé tous les domaines internet et les actions sure les médias sociaux de « Denver coworking » et orientait les gens à travers une enquête, demandant aux visiteurs ce qui les intéressait le plus dans le concept et là où ils voudraient voir une infrastructure s’ouvrir.

Il a également analysé les rapports sur les villes accrédités par le conseil municipal de Denver qui décrivent le quartier, le contexte socio-économique et l’état des transports publics. Cette recherche, avec les stratégies sur les médias sociaux, ont fonctionné main dans la main pour établir une marque à laquelle les personnes peuvent s’identifier.

(Non) Conférences

Etre un défenseur du coworking and dans l’intérêt de tous les futurs opérateurs d’espaces de coworking. Saisissez donc toutes les opportunités pour diffuser votre affaire devant différents publics.

Pour Jaime et Alberto, à la workINcompany, cela a pris la forme d’une performance mise en scène à Pecha Kucha, une conférence annuelle d’architecture, à laquelle environ 400 personnes participent chaque année. Pendant leur présentation, ils ont expliqué ce qu’était le coworking et quels en étaient les bénéfices, et l’ont clôturé par un long« striptease »humoristique.

Si vous ne pouvez pas obtenir un temps de parole à une conférence, organisez la vôtre. Coworking Slovenia a simplement fait ça, et a déclaré que le 1erJuin serait la « journée officielle slovéniene du partage », durant laquelle ils ont organisé un évènement de type BARCAMP dans un espace public, invitant des groupes d’initiatives qui étaient intéressée par la consommation collaborative.

“C’était un évènement fantastique” a dit Luka. “Nous étions vraiment étonnées de voir à quel point cela a été organisé par la communauté. Nous avons juste mis en place une plateforme et tout le monde a contribué avec leur propre programme. C’était un incroyable succès »

Où commencer

Selon Alex, vous auriez du commencer hier. Pendant sesateliers sur le coworking, il entend souvent des gens dire qu’ils attendent la bonne période, le bon moment, mais ne fournissent pas de bonne raison pour expliquer pourquoi ils ne le font pas maintenant. Cela vient de quelqu’un qui a « J .F.D.I.*» tatoué sur l’avant-bras. (*Just Do It)

Une fois que vous avez commencé hier, arrêtez de vous demander comment votre espace ser, demandez à votre communauté. Craig insiste sur les fait que la chose la plus bénéfique qu’il ai fait est de demander à la communauté où ils voulaient travailler, et écouter leurs besoins. « Laisser le communauté vous dire ce qu’ils veulent » dit-il.

Ce dont vous aurez besoin

La patience est clé quand il en vient au community building. Personne ne comprend cela mieux que Jaime et Alberto, qui ont travaillé à la construction de leur communauté pendant deux ans avant d’ouvrir un espace.

 « Les personnes de notre espace nous disent souvent que nous sommes très patients” avoue Jaime. « Quel que soit le moment où quelqu’un vient dans l’espace, nous prenons le temps de lui expliquer les choses, mais nous prenons aussi le temps de les écouter. Ils nous parlent de leurs idées, et une fois que vous avez fait ça, que vous avez entendu leur rêves, vous faites partie de leurs rêves. C’est à ce moment seulement que vous pouvez construire un espace avec une communauté, parce que vous les connaissez et les comprenez et vous êtes donc en mesure d’apporter aux membres ce dont ils ont besoin. Ils ne voudront peut être pas devenir membres dans un premier temps, mais ils se souviennent de vous, car ils ont partagé quelque chose avec vous, et ils commencent à intégrer la possibilité de travailler différemment.

Bien évidemment, des qualités d’écoute sont également nécessaires pour construire un lien de confiance, de respect et d’apprentissage, ce dont votre communauté a besoin d’u  espace de coworking à venir.

« Vous devriez écouter deux fois plus que vous ne parlez » dit Alex. « C’est ça l’astuce ! Si vous ne faites qu’attendre le moment où vous pourrez parler, vous n’changez pas vraiment avec les autres.

Une bonne dose de passion va de pair avec le fait d’encourager les gens à essayer un nouveau moyen de faire quelque chose. Et pour chacun des opérateurs d’espaces de coworking, le procédé decommunity buildinga été un point clé de l’aventure de l’ouverture d’un espace.

De plus, si vous êtes passion nés par votre projet, ce procédé ne vous donnera par l’impression de travailler, ce qui peut DEBILITATE votre cas. Alex, Craig, Luka et Jaime occupaient tous des jobs à plein temps alors qu’ils commençaient à créer leur cercle de coworking, mais bien que cela demande une très bonne organisation du temps, l’aspect social a surpassé le sentiment d’obligation. Souvenez-vous qu’un jour, les gens de votre communauté, deviendront vos coworkers et vos amis. Investir du temps dans vos relations est un gain personnel au-delà de tout.

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